Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Matière à réflexion

  • CA Y EST, LES VACANCES SE TERMINENT !

    On se couche plus tôt (en théorie),

    On reprend travail ou études,

    On est reparti pour le train-train quotidien,

    On retrouve ses préoccupations parfois « minantes »…

     

    Bof !!! Nous revoilà bien moroses…

     

    Mais ce quotidien nous réserve aussi de bons moments :

    L’été n’est pas terminé, les bonnes résolutions doivent être mises en œuvre.

    Pour ma part, je suis toujours heureuse de retrouver ma maison et de réaliser un projet que j’ai mûri pendant les vacances :

    Redécorer une pièce,

    Se remettre au sport (non, pas moi, je n’aime pas ça ! Mais j’en ai pris la résolution quand même),

    Retrouver ses amis et passer quelques bonnes heures en toute convivialité,

    Conserver les bons légumes qui nous régaleront hors saison,

    Reprendre ses activités à l’AMAP (pour moi tutorat, niouze, blog…) ou dans les autres assos,

    Et revenir au rituel du jeudi, contact avec les amapiens, les producteurs… et bons produits de chez nous qu’on y trouve à tous les coups !

     

    Sans oublier de profiter de la nature si flamboyante quand vient l’automne, et cultiver notre jardin !

    automne-sur-l-etang.jpg

  • CA RESSEMBLE A UN CONTE DE NOEL

    Et pourtant c’est une histoire vraie !

    Je tairai les noms des protagonistes.

    Dans cette famille, il y avait Maman, Papa, et leurs trois filles.

    C’était au début des années 60, il n’y avait ni SMIC, ni RSA… Les pauvres étaient nombreux, se cachaient souvent et essayaient de sauver les apparences. L’abbé Pierre avait beaucoup à faire et l’hiver 54 n’était pas si loin.

    Cette famille vivait très pauvrement. Le père travaillait, mais ce qu’il rapportait servait à peine à payer les remboursements du prêt immobilier. Heureusement, le charbon n’était pas cher et on pouvait se chauffer.

    La mère faisait le ménage chez les autres et cela aidait naturellement, mais on ne pouvait pas mettre de beurre sur le pain et la viande n’était au menu qu’une à deux fois par semaine.

    Au moment de Noël, la Maman réunit ses filles pour leur dire :

    « Cette année, mes chéries, je suis désolée, il n’y aura pas de Noël »

    « Mais Maman, pourquoi ? », dit la plus jeune…

    La Maman pleurait et leur expliqua qu’on n’avait pas d’argent, qu’il avait fallu changer la voiture dont Papa se servait pour travailler.

    Il faut savoir que c’était une famille très catholique.

    « Alors, reprit la plus jeune, on va prier ! »

    Ce qu’elles firent toutes les quatre, la mère et les filles.

    Le soir même, la sœur de Maman arriva, accompagnée de son mari. Ils apportaient un poulet, une bûche et une enveloppe contenant de l’argent.

    « Vous nous avez aidés autrefois, il est temps que nous vous aidions à notre tour ».

    Cette année-là, le sapin fut magnifique et tout le monde se réjouit.

    Les sœurs s’en souviennent et évoquent souvent les jouets que le Père Noël leur apporta.

    Est-ce que leur prière a été utile ? Je n’en sais rien et je ne suis pas religieuse.

    J’y vois plutôt une manifestation de solidarité (ici familiale), ce qui doit être la règle en cette période.

    Et ce fut un petit miracle de Noël !

    sapin-de-noel-avec-des-decorations-classique.gif

  • GRANDES SURFACES

    Mercantilisme, stratégie commerciale… Dès le début du mois de juillet, les rayons des grandes surfaces se garnissent de fournitures scolaires, cartables, etc.

    Moi, ça m’énerve. On ne doit pas avoir la tête à ça en vacances, profitons du moment présent.

    Au même titre qu’à partir de la deuxième quinzaine d’octobre, on y voit fleurir les décorations de Noël, les jouets et j’en passe.

    Où est la magie de Noël dans ce cas ? Et, en cette période, quel bonheur de traîner après soi un ou deux de nos chers bambins pour faire les courses !

    Eh oui ! Au risque de paraître hérétique, il m’arrive d’aller dans un de ces temples de la consommation… Et ne le niez pas, vous aussi.

    C’est vrai, pour ce qu’on ne trouve pas à l’AMAP, nous préférons de beaucoup notre BIOCOOP de DISTRE. L’accueil, le conseil, les produits au juste prix, la possibilité d’acheter en vrac la juste quantité nécessaire, et surtout les valeurs que portent les gérants de ce magasin nous y conduisent une fois par semaine.

    Et si on compte bien, AMAP + Magasin BIO, on s’y retrouve financièrement et on gaspille beaucoup moins.

    Mais certaines choses ne s’y trouvent pas et nous avouons tous qu’on ne peut pas complètement éviter les grandes surfaces.

    A consommer avec modération donc !

    consommation.jpg